Bey.Ler.Bey, Mauvaise langue
Comme personne ne se refait de ses propres tares, Bey.Ler.Bey a traîné longtemps sa mauvaise langue sur cette pile de disques consacrée à l’entassement méthodique des mille projets journaliers dévolus à la rencontre avec la musique du monde et les traditions millénaires ; cette pile qui promet dépression et absurdité dans le concert commercial des ’’musiques actuelles’’ et ses concepts savoureux d’afro-computer-fusion-jazz (je mets le copyright, au cas où). (...)